Le porc fermier de Vendée
élevé en plein air
Notre filière qualité :
Qualité et terroir
Un territoire unique…
Né dans le berceau d’une race ancienne aujourd’hui disparue, le cochon blanc du Poitou, la production évolue au XIXème siècle, avec comme principale vocation de nourrir les habitants de ce territoire et d’assurer la pérennité des exploitations familiales. L’élevage connait alors un fort développement des cheptels, qui doublé entre 1840 et 1929.
Des porcs bien élevés…
Malgré l’intensification la production reste majoritairement traditionnelle avec de petites unités d’engraissement. Les cochons sont alors nourris de lait écrémé additionné de farineux, de pommes de terre et de son. Certains font alors le choix de nourrir les porcs à la farine d’orge et de les laisser en totale liberté.
Et des hommes passionnés !
De la production à la distribution, la filière compte de nombreux savoir-faire incarnés par des hommes investis dans leur mission. Des éleveurs soucieux du bien-être des animaux, des artisans exigeants quant à la qualité du travail fourni pour proposer au consommateur une viande d’une grande qualité.
Production
Le Porc Fermier de Vendée connait une reconnaissance officielle en obtenant le Label Rouge (qualité supérieure) en 1991 et l’IGP (lien au territoire) en 1997. Il représente l’héritage de tout ce passé et est un savoir-faire traditionnel :
- Un engraissement à base de céréales, non intensif et dans le respect de leur potentiel physiologique jusqu’à leur pleine maturité.
- Un accès libre à un parcours en plein air herbeux qui supporte le poids du porc et filtre au maximum l’eau de pluie pour éviter la formation trop importante de boue.
- Des bâtiments en dur ouverts en permanence et laissant des espaces individuels d’au moins 1m2 Tout est organisé pour optimiser le bien-être des porcs et leur permettre de s’ébattre et de fouir selon leurs besoins physiologiques. Chaque porc dispose au moins de 84 m2 de parcours enherbé et 120 porcs maximum sont élevés par hectare et par an. » La Vendée se hisse alors au 12ème rang national avec une production qui 345 000 porcs par an.
